Les erreurs de gestion peuvent coûter cher puisqu’elles sont susceptibles de déclencher la faillite de l’entreprise et ce, si non prises en charge à temps. Elles sont de différents types et sont considérées comme étant des défaillances latentes ou actives selon le cas.
Les défaillances de gestion latentes
Les défaillances latentes proviennent généralement de mauvais choix au moment de la création de l’entreprise, ou encore de mauvaises décisions sur la gestion dans différents domaines. Par exemple, sur l’analyse des objectifs stratégiques et des processus choisis, sur la mise en place des différentes évaluations de performances, de même que sur les améliorations à apporter pour fluidifier les opérations d’exploitation.
Par ailleurs, un manque de formation et une déficience en compétences du dirigeant réduit la durée de vie de l’entreprise. Il en est de même pour l’absence de prise de risque, qui est pourtant nécessaire afin de développer l’activité sur le long terme. Le manque de communication en interne et avec les partenaires, les clients et les futurs investisseurs met aussi en péril la solidité de l’entreprise.
Les défaillances de gestion actives
Les défaillances actives peuvent résulter d’une conjoncture défavorable, comme dans le cas d’une crise économique qui s’étend dans la durée. La prise de décision doit donc être rapide et bien calculée, afin de mettre l’entreprise à flot et la prémunir d’une éventuelle faillite.
En résumé, les différentes erreurs de gestion proviennent de différentes sources. Ce, depuis la mise en œuvre du business plan et du prévisionnel financier, en passant par les incompétences au niveau de la gestion à différents niveaux.
L’intervention d’un expert-comptable est donc requise afin de prévenir ces menaces latentes et pour mettre en œuvre toutes les mesures d’urgence. Cela afin de contourner les risques de dépôt de bilan. Les meilleures solutions émanent d’ailleurs de l’expert-comptable puisqu’il est en parfaite connaissance de la santé de l’entreprise. En savoir plus sur www. cocerto.fr.